Mardi 10 avril 2007 à 10:20



3 ans qu'on les avaient pas vu. J'avais 13 ans la dernière fois. Et comme toujours j'ai eu du mal a mettre un nom sur certain visages, et pourtant ils font partie de ma famille, tous...Ils sortent les bouteilles, l'apéro, les rires, les souvenirs, et ça commence, ça recommence. Y'a des étoiles dans leur yeux, ils sont bien là, comme avant...Moi jles écoute. J'les écoute raconter leurs histoires, leur souvenirs, leur fou rires qui les font toujours autant marrer..et ça me fais du bien, ça me fais sourire, ça me fais rêver. Une sorte de nostalgie du temps passé que j'ai pourtant pas connu. J'aimerais que tous ça dure toujours, que ça revienne, que ça dure. Pas que ça s'arrête d'un coup et que ça reprenne 7 ans plus tard...Je sais que j'aurais du mal à les quitter au moment de partir. La nostalgie d'une nostalgie d'un temps auquel j'aurais participé....

[J'aurais aimé vivre à leur époque...]





Mardi 10 avril 2007 à 9:54



Vendredi, prise de sang, a jeun evidement, alor  j'vais manger un truc a la boulangerie d'à côté. Et j'regarde. J'regarde les gens passé, les gens pressé, les gens stressé. J'essaye  de m'imaginer dans 10 ans, même lieu, même pomme, devant un café, à les regarder marcher dans ce froid sans prêter attention à ce qui les entoure. Décor de fond: cette rue, ces immeubles, ce square, que je connais que trop bien, et sur lesquels j'ai si souvent poser les yeux qu'il est impossible d'imaginer ça dans un autre pays, une autre ville dans laquelle j'irais jamais parce que faut être lucide, j'vis dans un rêve, c'est utopique, j'pourrais jamais aller vivre dans le sud, ni dans la ptite ville en pente à côté de St Brieux. J'irais jamais en Chine ou en Inde. J'irais jamais un ans en Angleterre ou en Espagne. J'irais jamais à New York. Je retournerais jamais en Italie. J'aurais jamais une vie de bohème, de nomade, avec un gout d'auberge espagnole parce que je voyagerais sans doute jamais. J'aimerais juste arriver dans une ville où je connais personne, pouvoir me réinventer sans que personne ne le sache... Ca fini par me mettre un poids au coeur mes conneries alor je sors. J'ai froid. Bien sur que j'ai froid, doit faire 5 °. Non. J'ai froid autre part. Dans mon coeur, dans mon âme, dans ma tête....

[faut que j'retourne en cour...]



Mardi 6 mars 2007 à 19:33

J'ai tendu des cordes de clocher à clocher ;

des guirlandes de fenêtre à fenêtre ;

des chaînes d'or d'étoile à étoile, et je danse        

Samedi 3 mars 2007 à 20:50

Camille dessine. Dessinait plutôt, maintenant elle fait des ménages, la nuit.
Philibert, aristo pur jus, héberge Franck, cuisinier de son état, dont l'existence tourne autour des filles, de la moto et de Paulette, sa grand mère.
Paulette vit seule, tombe beaucoup et cache ses bleus, paniquée à l'idée de mourir loin de son jardin.
Ces quatre-là n'auraient jamais dû se rencontrer. Trop perdus, trop seuls, trop cabossés...Et pourtant, le destin, ou bien la vie, le hasard, l'amour -appelez ça comme vous voulez-, va se charger de les bousculer un peu.

Leur histoire, c'est la théorie des dominos, mais à l'envers. Au lieu de se faire tomber, ils s'aident à se relever.




































"Et puis, qu'est ce ça veut dire, différents? C'est de la foutaise, ton histoire de torchons et de serviettes... Ce qui empêche les gens de vivre ensemble, c'est leur connerie, pas leur différences.."



Mardi 27 février 2007 à 20:31

parait que pour trouver le prince charmant
faut embrasser un crapaud


et qu'après il se transforme en beau gosse
moi avec un peu de chance


mon crapaud à moi se transformera
en asticot...







Que tout ceux qui pense que j'ai  un p'tit problème avec l'amour se rassure!
j'ai PAS de probleme avec l'amour
c'est lui qui en a avec moi...

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