Je n'aurai pas pensé ressentir ça de nouveau. Je comprend maintenant combien je l'ai fait souffrir et ça me déchire... Je lui ai menti. Pas dès le début bien sût, au début je le pensais. Du moins c'est ce que je croyais. Mais j'en suis là maintenant, à regretter ce que je lui ai dit, ce que je lui ai fait, ce que je nous ai fait... Il a tenté de revenir, je l'ai repoussé plusieurs fois, pensant alors que c'était ce qu'il y avait de mieux pour lui, pensant qu'ainsi il m'oublierai et cesserai de souffrir.
Mais au fond on ne peut pas savoir, on ne peut pas prétendre connaitre ce que ressentent les autres, ce qu'ils veulent, ce qui leur faut pour qu'ils se sentent bien, ce qui leur fait mal. Pour lui c'était moi, moi qui lui fallait alors, moi qui lui faisait mal. Et en le repoussant je l'ai privé de ce qu'il lui fallait, de ce qui lui faisait du bien, et je lui ai fait mal. On ne peut pas prétendre savoir ce que ressente les autres et ce dont ils ont besoin. Encore moins quand on ne sait pas soi même ce que l'on veut. En octobre j'aurai pu avoir de nouveau ma chance avec lui. Mais je lui ai menti. Je l'ai de nouveau repoussé. Pas parce que je ne voulais pas, mais parce que j'avais peur. Peur de tout gacher à nouveau. Peur qu'il ne puisse pas me pardonner... Et depuis je regrette. Je regrette tout ce qui c'est passé depuis un an à vrai dire... On ne réfléchi pas assez aux conséquences.
J'ai toujours eu une âme un peu volage, une envie de voir le monde, de m'amuser. Mais à présent les paillettes sont ternis, la lumière des fêtes est froide et terne. Le bonheur qui les accompagne est le même, mais après, une fois seule, une douleur sourde m'envahit. Sans cesse j'y pense, au lever, dans le bus, au coucher, à chaque photos, à chaque souvenirs...
Mais est ce que revenir serai seulement possible? Il n'est plus seul maintenant, il a retrouvé quelqu'un. L'aime-t-il autant qu'il m'a aimé? Est-ce pareil avec elle? Elle a peur de moi, je lui ai dit qu'elle n'avait rien à craindre, que je ne désirai plus être avec lui. Le pire des mensonges sans doute... Elle a surement du le lui répéter, il connait à présent chaque mensonges qu'elle a eu le loisir d'entendre. Cependant personne ne sait que ce sont des mensonges. Après tout, comment chose répétée mainte fois pourrait-elle dissimuler autre chose que la vérité? Mais c'est bien là le problème. C'est parfois dans la clameur de la vérité que se cachent les mensonges les plus inavouables, parfois même pour soi-même. Et c'est ce que j'ai fait, je me suis persuadée moi même que ce que je disais était vrai.
Oui revenir serai-t-il possible? Il a quelqu'un maintenant et je ne peux lui demander de la quitter, encore moins sans savoir ce qu'il ressent pour moi. Cela me parait égoïste, comme une sorte de caprice enfantin. Mais l'amour est enfantin, l'amour est un caprice. Mais l'amour n'est pas égoïste. J'en crève d'envie de lui avouer ce que je ressent à nouveau, mais comment? Et par la suite, comment affronter les regards, les reproches? Les siens peut-être, mais aussi ceux de sa famille. Je ne peux pas revenir comme ça, en conquérante, reprendre quelque chose qui peut-être ne m'appartiens plus, sans éprouvé de la gêne, du remord...
Mais je sais que cela ne serai rien à affronter à côté d'une vie sans lui. J'ai eu peur de l'engagement, peur de regretter plus tard, trop tard, de ne pas avoir profité de ma jeunesse. Mais la jeunesse, les fêtes, sont des choses éphémères comparé à l'immensité et la longévité de la vie. Une vie seule, une vie de regrets, est ce cela qui m'attend? Je n'arrive même pas à fixer ma pensée là dessus le temps de quelques secondes, cela fait trop mal rien que de l'évoquer, alors imaginez, vivre comme cela toute une vie?
J'ai fait ce que je considère comme la pire erreur de ma vie, je m'en rend compte trop tard. J'avais besoin de découvrir qui j'étais, moi, besoin de le découvrir en dehors de ce que "nous" étions, en dehors de ce que "nous" signifiait. J'ai été très longtemps renfermée, timide, introvertie. Je l'ai rencontré à une époque une nouvelle personnalité se forgeait en moi, s'exprimait, je commençais tout juste à la découvrir. Et j'ai eu peur de regretter de ne jamais pouvoir la découvrir totalement, peur de l'enterrer trop tôt. J'ai été trop jeune, trop immature, trop indécise, trop bête, trop égoïste.... J'ai eu peur de m'engager...
Depuis quelques temps je répète à ceux qui viennent me proposer un peu d'amour, que je ne cherche pas à être en couple. C'est vrai. D'un côté. Je ne veux pas, je ne peux pas être en couple. sauf avec lui. Je ne sais pas aimé quelqu'un d'autre que lui. Je ne veux pas me forger de nouveau souvenirs. Comment pourraient ils seulement égaler la beauté et la brillance de ceux que j'ai créé avec lui? En créer d'autres, ce serait comme trahir les anciens, le trahir lui... Mais lui est passé à autre chose, il a quelqu'un. Je n'ai pourtant rien contre elle à proprement parlé, je ne la haie même pas. Mais je ne peux m'empêcher de désirer être à sa place. Il a quelqu'un. Je n'aurai jamais imaginé qu'il rencontrerait quelqu'un aussi vite, que cela durerait un minimum. Ni qu'ils feraient des projets aussi vite... Vivre ensemble c'est ce qui nous a manqué pour que notre couple fonctionne. En vivant ensemble il n'y aurai pas eu besoin de se réserver tout nos weekend, il aurait été possible de sortir un soir de temps en temps, ensemble ou non. Et ainsi je n'aurai pas fait l'erreur terrible que j'ai faite.
Mais au fond on ne peut pas savoir, on ne peut pas prétendre connaitre ce que ressentent les autres, ce qu'ils veulent, ce qui leur faut pour qu'ils se sentent bien, ce qui leur fait mal. Pour lui c'était moi, moi qui lui fallait alors, moi qui lui faisait mal. Et en le repoussant je l'ai privé de ce qu'il lui fallait, de ce qui lui faisait du bien, et je lui ai fait mal. On ne peut pas prétendre savoir ce que ressente les autres et ce dont ils ont besoin. Encore moins quand on ne sait pas soi même ce que l'on veut. En octobre j'aurai pu avoir de nouveau ma chance avec lui. Mais je lui ai menti. Je l'ai de nouveau repoussé. Pas parce que je ne voulais pas, mais parce que j'avais peur. Peur de tout gacher à nouveau. Peur qu'il ne puisse pas me pardonner... Et depuis je regrette. Je regrette tout ce qui c'est passé depuis un an à vrai dire... On ne réfléchi pas assez aux conséquences.
J'ai toujours eu une âme un peu volage, une envie de voir le monde, de m'amuser. Mais à présent les paillettes sont ternis, la lumière des fêtes est froide et terne. Le bonheur qui les accompagne est le même, mais après, une fois seule, une douleur sourde m'envahit. Sans cesse j'y pense, au lever, dans le bus, au coucher, à chaque photos, à chaque souvenirs...
Mais est ce que revenir serai seulement possible? Il n'est plus seul maintenant, il a retrouvé quelqu'un. L'aime-t-il autant qu'il m'a aimé? Est-ce pareil avec elle? Elle a peur de moi, je lui ai dit qu'elle n'avait rien à craindre, que je ne désirai plus être avec lui. Le pire des mensonges sans doute... Elle a surement du le lui répéter, il connait à présent chaque mensonges qu'elle a eu le loisir d'entendre. Cependant personne ne sait que ce sont des mensonges. Après tout, comment chose répétée mainte fois pourrait-elle dissimuler autre chose que la vérité? Mais c'est bien là le problème. C'est parfois dans la clameur de la vérité que se cachent les mensonges les plus inavouables, parfois même pour soi-même. Et c'est ce que j'ai fait, je me suis persuadée moi même que ce que je disais était vrai.
Oui revenir serai-t-il possible? Il a quelqu'un maintenant et je ne peux lui demander de la quitter, encore moins sans savoir ce qu'il ressent pour moi. Cela me parait égoïste, comme une sorte de caprice enfantin. Mais l'amour est enfantin, l'amour est un caprice. Mais l'amour n'est pas égoïste. J'en crève d'envie de lui avouer ce que je ressent à nouveau, mais comment? Et par la suite, comment affronter les regards, les reproches? Les siens peut-être, mais aussi ceux de sa famille. Je ne peux pas revenir comme ça, en conquérante, reprendre quelque chose qui peut-être ne m'appartiens plus, sans éprouvé de la gêne, du remord...
Mais je sais que cela ne serai rien à affronter à côté d'une vie sans lui. J'ai eu peur de l'engagement, peur de regretter plus tard, trop tard, de ne pas avoir profité de ma jeunesse. Mais la jeunesse, les fêtes, sont des choses éphémères comparé à l'immensité et la longévité de la vie. Une vie seule, une vie de regrets, est ce cela qui m'attend? Je n'arrive même pas à fixer ma pensée là dessus le temps de quelques secondes, cela fait trop mal rien que de l'évoquer, alors imaginez, vivre comme cela toute une vie?
J'ai fait ce que je considère comme la pire erreur de ma vie, je m'en rend compte trop tard. J'avais besoin de découvrir qui j'étais, moi, besoin de le découvrir en dehors de ce que "nous" étions, en dehors de ce que "nous" signifiait. J'ai été très longtemps renfermée, timide, introvertie. Je l'ai rencontré à une époque une nouvelle personnalité se forgeait en moi, s'exprimait, je commençais tout juste à la découvrir. Et j'ai eu peur de regretter de ne jamais pouvoir la découvrir totalement, peur de l'enterrer trop tôt. J'ai été trop jeune, trop immature, trop indécise, trop bête, trop égoïste.... J'ai eu peur de m'engager...
Depuis quelques temps je répète à ceux qui viennent me proposer un peu d'amour, que je ne cherche pas à être en couple. C'est vrai. D'un côté. Je ne veux pas, je ne peux pas être en couple. sauf avec lui. Je ne sais pas aimé quelqu'un d'autre que lui. Je ne veux pas me forger de nouveau souvenirs. Comment pourraient ils seulement égaler la beauté et la brillance de ceux que j'ai créé avec lui? En créer d'autres, ce serait comme trahir les anciens, le trahir lui... Mais lui est passé à autre chose, il a quelqu'un. Je n'ai pourtant rien contre elle à proprement parlé, je ne la haie même pas. Mais je ne peux m'empêcher de désirer être à sa place. Il a quelqu'un. Je n'aurai jamais imaginé qu'il rencontrerait quelqu'un aussi vite, que cela durerait un minimum. Ni qu'ils feraient des projets aussi vite... Vivre ensemble c'est ce qui nous a manqué pour que notre couple fonctionne. En vivant ensemble il n'y aurai pas eu besoin de se réserver tout nos weekend, il aurait été possible de sortir un soir de temps en temps, ensemble ou non. Et ainsi je n'aurai pas fait l'erreur terrible que j'ai faite.
Je l'aime toujours, et je ne peux pas le lui dire.