Jeudi 24 avril 2008 à 22:20


"
Yes and how many years can some people exist,
Before they're allowed to be free?
Yes and how many times can a man turn his head,
Pretend that he just doesn't see?
The answer, my friend, is blowin' in the wind
The answer is blowin' in the wind.

Yes and how many times must a man look up,
Before he can see the sky?
Yes and how many ears must one man have,
Before he can hear people cry?
Yes and how many deaths will it take till he knows
That too many people have died?
The answer, my friend, is blowin' in the wind
The answer is blowin' in the wind"

[...]


Vendredi 28 mars 2008 à 23:11

Vous pensez que c'est possible d'enfermer dans une boite tout les rires, les chansons, les délires, les photos, les odeurs, les images, les flashs,le bonheur qui ont marqué nos souvenirs?

J'aimerais tellement, pouvoir garder pour toujours cette odeur qui me rappelle Chauffry, cette chanson qui évoque l'an dernier, les cours de français alors qu'il faisait nuit dehors, les jeudis après midi au parc, allongé sur les dalles, le soleil dans les yeux et le mp3 dans les oreilles. Ou encore cette sensation de chaleur quand le soleil vient se poser sur votre peau, qui me rappelle les beaux jours, l'insouciance, le bonheur et aussi cette après midi où on avait fait chier Cha et Aurélien en les espionnant. Ou cette chanson qui à elle seule regroupe tout mes souvenirs de l'an dernier parce que c'est celle que j'entendais tout les matins en me préparant. Chaque notes, chaques sons, chaques accords est relié à un souvenir. Ou alors cette image, cette impression de déjà-vu, qui vous fait comme une sorte de flash et hop, vous vous retrouver ailleurs, dans le monde de vos souvenirs.... Y en a tellement qu'on pourra jamais tous les nommer...


Souvenirs, souvenirs, souvenirs...
se répéter ce mot jusqu'à ce qu'il ne veuille plus rien dire, le vider de son sens, en chercher la signification cachée. Se le répéter jusqu'à se dire: ça existe, c'est réel. Se le répéter jusqu'à se que ça produise un effet étrange sur nous, et jusqu'à se que cet effet disparaisse....

Samedi 23 février 2008 à 21:44

L'histoire se bâti ou rien que soleil
Depuis longtemps privé le ciel
Le héros s'appelle Roméo
Et il y a une faute sur son vélo
Il n'a que 10 ans et demi
Mais a déjà connu la vie
Il drague les filles les samedi soirs
Qui font de sa vie... un mauvais polar

Il était une jolie fille
Mais elle vie loin des bidonvilles
Et demain elle sera mariée
Avec le prince de d'à coté
Alors elle pleure dans son jardin
Elle mouille ses mouchoirs Pierre Cardin
Roméo est bien loin d'ici
Loin de cette coquille de paradis
Mais deux anges insoumis
Voudraient changer de vie

Alors ils rêvent
Qu'un jour ils s'en iront
Ils rêvent
Loin de tout ce béton qui crève
Les fleurs et les passions de la jeunesse
Ils rêvent
Que peut être un jour, un jour se lève
Comme un soleil de trêve
Et qu'un jour l'amour les enlèvent
Loin de leurs pauvres vie ils rêvent

Mais voici venu le grand jour
Roméo doit trouver l'amour
Oui mais il n'a pas lu Shakespeare
Normal, il ne sait même pas lire
Perdu dans toute une lune noire
Son supster chance de désespoir
Alors il dort et sans le savoir
Que quelqu'un l'attend de l'autre coté du couloir
Que Juliette l'attend de l'autre coté du miroir


Alors ils rêvent
Qu'un jour ils s'en iront
Ils rêvent
Loin de tout ce béton qui crève
Les fleurs et les passions de la jeunesse
Ils rêvent
Que peut-être un jour, un jour se lève
Comme un soleil sur la trêve
Que l'amour les enlèvent
Loin de leurs pauvres vie ils rêvent
Ils rêvent...

...tu broies du noir
Si toi aussi tu rêves de t'enfuir
Tu vois j'apprendrai même à lire
Alors dans un monde plus beau
Avec des fleurs et des oiseaux...

Damien Saez

Vendredi 25 janvier 2008 à 20:49

Je crois que jusqu'ici, je n'avais pas réaliser qu'ils étaient ensemble. Pour moi, son nom n'était qu'un nom, ce n'était que des anecdotes, j'arrivais à peine à voir la personne au bout de ces mots, au bout de cette France. Ce n'est que quand j'ai vu des photos d'eux que j'ai commencé à réaliser. Jusque ici la souffrance de Charlotte, bien qu'elle m'ai atteinte et que je sache qu'elle était réelle, je n'arrivais pas à la concevoir comme rattaché à quelqu'un, comme la cause de tout.
Puis elle a dit:"c'est fini". J'ai eu mal, j'ai ressentit ce manque qu'elle devait ressentir, ça m'a rappelé ma rupture avec A....... Je suis tombé de haut comme elle. J'ai pas réussi à concevoir un avenir où ils ne seraient pas ensemble et pourtant, je n'y avait jamais réellement cru, jamais réellement pensé.
Ça m'a fait pleuré.
Charlotte, si je pouvais je porterais ta souffrance, je la supporte mieux que toi cette garce là.
Charlotte, si je pouvais je prendrais ta peine, ton chagrin, tes larmes, t'es pas assez solide pour les supporter.
.
J'ai la rage contre lui, contre sa décision à la con, contre ton avenir et tes projets qui s'effondrent. J'arrive pas non plus à concevoir, toi toute seule, toi avec ton amour brisé. C'est peut-être à cause du souvenir que ça me rappelle, cette fois où j'ai ressentit la vraie souffrance d'une rupture parce qu'on aime sincèrement et que tout s'effondre.... A ce moment j'ai cru que je ne pourrai pas m'en sortir. Mais j'ai réussi, j'oublie plus vite que toi...Mais toi t'es passionnée, excessive, amoureuse, alors j'ai peur que t'es trop de mal à oublier, que tu fasse une connerie, que tu te mette à pleurer en cours, qu'en croisant son "sosie" tu fondes en larmes, j'ai peur pour toi, je veux pas que tu souffre. Ça me ferais trop de mal.

Bat toi, je t'en pris. Tu sais grâce à toi j'ai su qu'on pouvait faire de vrais projet, qu'on pouvait s'aimer pour de vrai. J'ai su qu'on pouvait souffrir par amour à un point tel que les larmes coulent tout les soirs sans s'arrêter...

Lundi 14 janvier 2008 à 21:03



Et si d'un seul coup tout s'effondrait?

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